Né en Iran en 1958, fils d’un ingénieur en rayons X, il est introduit dans le monde de la radiation et du nucléaire très jeune. Dans le milieu des années septante, il part pour l’ Europe approfondir sa formation dans le domaine de la physique nucléaire.En 1981, il est diplômé du Collège

Queen Mary, de l’Université de Londres, comme ingénieur nucléaire spécialisé dans le système de contrôle de la technologie des réacteurs. Il passe ces dernières années à parfaire ce système pour la production de gravité et d’énergie utilisant un réacteur radioactif propre et sûr, alimenté par hydrogène. Il couvre à lui seul tous les aspects de la conception d’un nouveau système nucléaire à plasma, jusqu’à son état final actuel. C’est -à-dire le design, le combustible, le contrôle et les applications. Depuis 2002, il concentre ses efforts pour terminer toute la conception de sa technologie en vue de son lancement dans le monde scientifique et industriel. En septembre 2004, il est invité par un des pays leader en occident, par l’intermédiaire de ses organisations gouvernementales, pour l’évaluation de sa technologie. Sa technologie est examinée par des scientifiques de niveau universitaire de novembre 2004 à mars2005. En mars 2005, le rapport de l’université confirme la faisabilité de la production de l’énergie par cette nouvelle technologie. Depuis la publication de ce rapport, des efforts sont entrepris par des autorités en vue de faciliter le développement de ce système dans le pays d’accueil.

En avril 2005, une firme de grande réputation dans le développement devient partenaire pour l’étude de la mise en application de ce système par l’intermédiaire d’organisations gouvernementales. A partir de 2005, Mr. Keshe et la firme de développement collaborent étroitement pour l’étude pratique complète du premier prototype. Les deux parties reconnaissent, la praticabilité et la faisabilité du système pour la production, tel que décrit dans l’étude de faisabilité par les scientifiques universitaires. A partir du 17 août 2005, l’évaluation préliminaire du système est terminée et les parties se mettent d’accord pour procéder à la production effective du premier « Système de Gravitation et d’Energie».

Trois demandes de brevets sont déposées pour la technologie en octobre 2005 pour tous les aspects de son utilisation possible, couvrant quelques centaines d’applications.

Des demandes de brevets internationaux supplémentaires sont déposées.Fin 2005 et début 2006, plusieurs réacteurs à base de plasma statique sont construits, ce qui corrobore l’étude théorique décrite précédemment. Ces réacteurs statiques fonctionnent à température ambiante et sous pression atmosphérique normale. Ils fournissent du voltage et du courant. Des dépôts de couches de carbone pur sont générés, et la spectroscopie Raman confirme qu’il s’agit de « wall-graphite », également appelé « graphène ».A partir de début 2006, plusieurs prototypes de réacteurs dynamiques sont construits, dont certains sont conçus spécifiquement pour créer des effets planants. Ces effets planants sont obtenus. Six réacteurs sont testés et évalués en continu.En 2006, la propriété intellectuelle relative à cette technologie est transférée à la Fondation Keshe,appelée «Stichting» aux Pays- Bas. L’objectif majeur de la Fondation est la répartition des droits de licence entre cinq domaines différents relatifs au bien-être de l’humanité et de l’éducation dans le monde. En octobre 2006, un contrat est signé avec une organisation majeure en Europe en vue de reproduire indépendamment les essais des réacteurs statiques.Des tests d’utilisation médicale des réacteurs au plasma sont réalisés avec la coopération de médecins.Début 2007, deux demandes de brevets sont déposées sous « Traité de Coopération en Matière de Brevet ». Le Bureau Européen des Brevets publie deux applications brevetées. En juillet 2007, une demande de brevet européen en est déposée pour l’usage des réacteurs au plasma dans le domaine médical et alimentaire.En 2010, est publié un article sur le captage direct de CO2 et CH4 dans l’air environnant où le CO2et le CH4 sont à l’état liquide, à température et pression ambiantes. Le CO2 et CH4 sont révélés par spectroscopie IR et XRD, menée dans une université belge.